Monki lance une capsule de sous-vêtements en collaboration avec la Body Dysmorphic Disorder Foundation
Un coup de projecteur sur les troubles de la dysmorphie corporelle.
En ce mois de mars, qui coïncide avec la Journée Internationale des Femmes, Monki s’associe une nouvelle fois à la Body Dysmorphic Disorder Foundation (BDDF) pour sensibiliser le public au trouble de la dysmorphie corporelle (TDC), un état psychologique difficile dans lequel une personne devient très préoccupée par une ou plusieurs caractéristiques de son apparence physique.
En collaboration avec la BDDF, la marque de mode suédoise lance une collection de sous-vêtements en édition limitée présentant des messages d’affirmation positive, afin de rappeler à la personne qui les porte qu’elle est unique et qu’elle est plus que son reflet, et ce qu’elle voit à l’extérieur. La capsule comprend deux soutiens-gorge et des bas en mesh. L’un des ensembles comporte des affirmations positives à l’intérieur du sous-vêtement que la personne peut lire, mais qui se reflètent également dans le bon sens lorsqu’elle se regarde dans le miroir, pour un regain de confiance instantané. Le deuxième ensemble présente diverses illustrations corporelles, l’une des signatures de la marque.
Dans le cadre du partenariat sur le long-terme entre Monki et BDDF, une donation est faite pour soutenir le travail de BDDF et développer les ressources éducatives.
Monki présentera également une série de portraits personnels de trois bénévoles qui ont souffert de TDC et ont utilisé leurs expériences pour éduquer et informer le public sur ce trouble difficile et sous-diagnostiqué. Ils décrivent comment cela a commencé, comment cela s’est manifesté, leur point le plus bas, et comment ils sont parvenus à surmonter ce trouble. Ils partagent également des conseils sur la façon de soutenir quelqu’un qui pourrait traverser cette épreuve ou qui connaît une personne souffrant de ce trouble. L’objectif est d’éclairer, d’informer, d’éduquer et d’encourager à chercher de l’aide et à ne jamais abandonner.
Via ses réseaux sociaux, la marque encouragera sa communauté à poser des questions aux représentants de la BDDF. Monki partagera également des clips vidéo des parcours personnels des bénévoles de la BDDF, ainsi que des conseils, astuces et autres ressources utiles sur la façon de parler de ce sujet.
“L’objectif de cette campagne est de sensibiliser le public à cette maladie et à la manière dont elle affecte le psychisme, le bien-être et la confiance en soi d’une personne. En tant que marque qui crée de la mode pour les filles et les jeunes femmes, nous avons la responsabilité envers notre communauté d’être aussi inclusifs et transparents que possible en ce qui concerne la représentation du corps et de la beauté. Un casting diversifié et des directives de retouche transparentes sont deux des domaines dans lesquels nous travaillons depuis le premier jour. C’est pourquoi cette collaboration sur le long-terme avec BDDF est importante pour nous - nous nous efforçons de donner aux femmes les moyens de se sentir bien dans leur peau sans aspirer à des normes inatteignables”, déclare Simone Van Starkenburg, directrice de la marque et du marketing chez Monki.
En novembre 2021, la BDDF, soutenue par Monki, a lancé une pétition à l’intention du Parlement Européen pour demander la transparence sur les images modifiées sur les réseaux sociaux. Cette pétition demandait que des changements soient apportés pour que les organisations, les entreprises et les influenceurs soient légalement tenus d’indiquer si des images ont été manipulées pour du contenu payant en ligne. Cette initiative s’inscrit dans un mouvement déjà important et continu, qui a vu ces dernières années des changements dans la législation en Norvège et en France. Depuis le lancement de la pétition, la BDDF, basée au Royaume-Uni, a réussi à accumuler plus de 40 000 signatures - mais cela ne s’arrête pas là. Jusqu’à présent, la pétition a servi de catalyseur pour faire pression en faveur d’un changement législatif similaire au Royaume-Uni, c’est pourquoi il est toujours important de soutenir la BDDF en signant la pétition. Vous trouverez plus d’informations sur la BDDF et la pétition sur monki.com et sur bddfoundation.org.
Leer de BDDF woordvoerders kennenRencontrez les bénévoles de la BDDF
“En sensibilisant les gens, nous pouvons aider ceux qui luttent contre le TDC à comprendre ce qu’ils vivent et à chercher le soutien qui les aidera à reprendre le contrôle de leur vie. Comprendre mon état a été mon premier pas dans un voyage positif pour vivre avec le TDC.” - Kim Booker
“Le TDC ne fait pas de discrimination, il peut affecter et arriver à n’importe qui, quel que soit le sexe, l’âge, l’ethnie à travers le monde (comme pour toute maladie mentale). Je pense qu’il est également primordial que l’égalité, la diversité et l’inclusion fassent partie de la représentation de l’image dans les médias - être fier de ce que l’on est de tout cœur, de son identité, de sa culture, de son ethnie et d’où l’on vient, et être capable de partager cette expérience également liée au TDC et à la santé mentale.” - Sandeep Saib
“Lorsque vous scrollez sur Instagram, vous ne voyez pas toutes les coulisses et les heures de montage, vous voyez que vous avez l’air différent de ces magnifiques femmes et vous ne comprenez pas pourquoi vous ne leur ressemblez pas. Être transparent sur les images que nous mettons en ligne est beaucoup plus important qu’on ne le pense.” - Mia Hill
Kitty Wallace, responsable des opérations de la Fondation BDD, est diplômée de l’Université d’Exeter en anglais et en science politique, et a travaillé dans l’industrie de la mode pendant cinq ans avant de prendre un temps d’arrêt pour se concentrer sur son traitement contre le TDC. Son expérience personnelle l’a poussée à contribuer à la sensibilisation à cette maladie, devenant administratrice de l’organisme de bienfaisance en 2017, et chef des opérations l’année suivante. L’objectif de Kitty est d’aider à sensibiliser, à réduire la stigmatisation liée au TDC et à donner l’espoir de guérison aux personnes qui en souffrent. Cette campagne, menée en collaboration avec Monki, lui tient particulièrement à cœur car, pendant son adolescence, elle a tenté désespérément de changer son apparence et s’est constamment comparée aux images idéalisées qu’elle voyait dans les magazines. Grâce à l’augmentation des financements provenant de subventions, de sponsors et de dons, Kitty vise à développer la fondation et sa capacité à soutenir les personnes touchées par cette maladie et à les aider à se rétablir.
Simone Van Starkenburg a rejoint Monki en octobre 2021 en tant que directrice de la marque et du marketing. Forte d’une vaste expérience acquise dans le cadre de multiples fonctions créatives, innovantes et numériques au sein des départements brand marketing et de la communication chez Scotch & Soda, NIKE Europe et Nike Global - Simone a une solide expérience dans la gestion d’équipes chargées de réaliser des campagnes réussies et des activations sur des plateformes et des marchés. En tant pilier central, Simone est impliquée dès les prémices d’une idée créative, jusqu’à son exécution et au-delà. Elle est non seulement passionnée par la mode, la culture et la marque Monki ; mais elle est également déterminée à découvrir de nouvelles façons créatives de faire bouger les cœurs et les esprits de la communauté Monki, en soulignant toujours l’importance d’être inclusif, collaboratif et co-créatif.
La capsule de sous-vêtements en édition limitée sera disponible en ligne et dans tous les magasins en Europe à partir de mars 2023.
Télecharger les images via le oona Newsroom.
bddfoundation.org. MONKI.COM
Instagram: @monki - Tiktok: @monki #monki #monkistyle
Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Julie Geilenkirchen
Nada Klaps
Body Dysmorphic Disorder Foundation
Fondée en 2006 et relancée en tant qu’organisme de bienfaisance en 2013, la Fondation BDD est le seul organisme de bienfaisance au monde à se consacrer exclusivement à l’éducation du public sur la condition et à l’atténuation de la souffrance causée par le trouble dysmorphique du corps (TDC). Elle vise à sensibiliser et à fournir des informations et un soutien aux personnes touchées par ce trouble sous-diagnostiqué, difficile et handicapant.